"Un cadre étant très littéralement donné par les lumières, le regard du spectateur se retrouve d'office focalisé sur un tableau en constante recomposition. Le jeu de la lumière sur la peau revêt une grande importance et fonctionne ici comme un pinceau qui révèle ce qu'il touche : les ombres des muscles et des os, ainsi dessinés, rendent la toile mouvante. (...) Cela a été un des axes de recherche du mouvement que d'arriver à générer un trouble : qu'on en vienne à douter de ce qui bouge, des corps ou de la lumière. "
Philippe Saire
Chorégraphie, dispositif, lumières : Philippe Saire
Réalisation dispositif : Léo Piccirelli
Son : Stéphane Vecchione
Avec les danseurs Philippe Chosson et Pep Garrigues
Paris, Théâtre national de Chaillot, 9 mars 2016